Harmonie de Blois

Giacomo PUCCINI (1858 – 1924), est un compositeur italien. Il est considéré comme l’un des plus grands compositeurs de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle. Son troisième opéra, Manon Lescaut, lui assure la consécration et initie une fructueuse collaboration avec les librettistes Luigi Illica et Giuseppe Giacosa. Ensemble, ils écriront les trois grands chefs-d’œuvre de PUCCINI : La Bohème (1896), Tosca (1900) et Madame Butterfly (1904).

Tosca est un opéra en trois actes qui fut créé le 14 janvier 1900 au Teatroostanzi de Rome. L’action se déroule à Rome en juin 1800, au lendemain de la bataille de Marengo dont on ne sait pas encore l’issu. L’acte I s’achève par un te deum célébrant la défaite de Bonaparte.

Alfred Reed (1921/2005) était un compositeur néoclassique américain, avec plus de deux cents œuvres publiées pour orchestre d’harmonie, chœur et ensemble de chambre à son actif. Il a également beaucoup voyagé en tant que chef invité, se produisant en Amérique du Nord, en Amérique latine, en Europe et en Asie.

Les Danses arméniennes, est une pièce basée sur d’authentiques chansons folkloriques arméniennes tirées des œuvres rassemblées de Gomidas VARTABED (1869-1935). Celui-ci, est un des premiers ethnomusicologues arménien et a collecté plus de trois mille chants de la tradition populaire, arménienne ou pas. L’œuvre d’Alfred REED est une longue rhapsodie symphonique construite sur cinq chansons différentes.

S’il a gardé intact les mélodies, il n’a pas hésité à élargir les possibilités harmoniques et rythmiques des chants. Néanmoins, l’effet global de la musique restera fidèle, dans l’esprit, aux chansons originales collectées par Gomidas
VARTABED.

John WILLIAMS (EU 1932, compositeur) et Steven SPIELBERG (réalisateur) : depuis près de 50 ans, leurs deux noms sont indissociables et forment un tandem magique, une complicité mimétique, une alchimie rare, mondialement reconnue, sans doute l’une des plus grandes collaborations de tous les temps entre un réalisateur et son compositeur.Le Terminal (2004) de Steven SPIELBERG nous raconte le quotidien de Viktor NAVORSKI, un apatride temporaire, obligé d’élire domicile dans un terminal de l’aéroport JFK à New-York à la suite d’un coup d’état survenu dans son pays natal, la Krakozie. Le thème principal (Viktor’s Tale) est un rondo allègre et concertant, qui séduit l’auditeur en mettant en valeur le timbre chaleureux de la clarinette solo. Dans l’accompagnement orchestral, John WILLIAMS décline les couleurs de l’Est qui nous renvoient aux origines de Viktor.

Thomas DOSS (Autriche 1966) évolue avec beaucoup d’aisance dans différents univers musicaux. Il a collaboré notamment avec Harri STOJKA (guitariste jazz viennois), Chris de BURGH (musicien pop irlandais), John WILLIAMS (le Mozart de la musique de film), Steven MEAD (virtuose anglais de l’euphonium) et Christian MAURER (saxophoniste autrichien). Sa passion pour la musique pour Orchestres à Vent l’a conduit à se produire aux quatre coins du monde et à devenir Lauréat de nombreux prix.

Né en Allemagne, Albert EINSTEIN (1879-1955) était un physicien théoricien et lauréat du prix Nobel. Cette œuvre impressionnante, unique et captivante de Thomas DOSS raconte l’histoire d’Einstein, de sa vie qui n’a pas toujours été florissante. Il se sert d’effets spectaculaires pour renforcer ses idées musicales.